Au moment de repartir voilà que Rudy et ses 2 acolytes tous en Fazer bleu R1 se pointent , ils ont faillis nous loupés de peu, donc on a remis ça, j’ai simplement pris une carafe d’eau parce que je n’avais pas bien digérer, on a commencé à parler de vitesse inavouable et patati et patata, les varadéristes étaient

On repart donc tous ensemble, je retrace donc sur l’A15 et part a donf devant, les Fazers me doublaient de temps en temps et je les redoublait pour finalement arriver à Argenteuil.
C’est clair, les Fazer ont encore plus de puissance.
J’arrive sur le rond point, angle démoniaque, ça glissouille, tiens pourtant j’ai pas vu de trace de gasoil, et je reglissouille encore, ba mairde il fait chaud et sec, je regarde ma roue arrière puis mes chaussures, Aaaaaahhhh, j’ai plein d’huile sur ma chaussure droite, eh mairde c’est quoi ce truc.
J’arrive à mon portail le cœur déçu, je m’arrête et la ma moto perd les eaux à grande gorgée sous le bas moteur, purée elle est en train d’accoucher ou quoi, béquille latérale, je regarde, tâte par terre du liquide et sent, ouf ce n’est pas de l’huile mais c’est tout le liquide de refroidissement qui s’est barré.
Le lendemain, énervé, je décide de la ramener à la CIMO, à pas plus de 3000 trs/mm, arrivé à la CIMO, je dis que j’ai perdu les eaux, et je leur montre qu’il manque la vis de purge du liquide de refroidisement, elle a du se barré à cause des vibrations avec les trajets sur autoroute et en ville.
Le mécanicien de la CIMO, me dit pas possible avant mardi soir, alors je lui fais un sourire charmeur, bon bon d’accord on vous la fait pour ce soir 17h, Yeeehhhhh et tout ça gratuitement puisqu’elle est garantie 3 mois.
Si c’était arrivé pendant le Varaday, j’étais pas dans la mairde, en tout cas je vais prendre toutes les clefs nécessaires pour vérifier et resserrer régulièment tous les boulons avant chaque sortie.
: ki-va-fère-la-chasse-o-boulon-qui-prène-la-poudre-dèscampette
