Au menu : Soubey, Saignelégier, Biaufond, Fournet-Blancheroche et retour par Maîche. Côté Suisse, ce seront pour une grande part, de toutes petites routes sur lesquelles la plupart du temps on n'a même pas la place de se croiser. Pour certaines, ce n'étaient il y a encore très peu de temps, que des chemins non goudronnés. Au total 125 km, négociés entre 40 et 80 km/h.
Sans plus attendre je plonge sur le Doubs, direction Soubey.
Arrivée en Suisse, au bord du Doubs. On y croise généralement plus de vélos que de d'engins motorisés.

Soubey. Les jurassiens sont fiers de leur canton. Leurs drapeaux en témoignent.


Soubey vu depuis les premiers lacets de la côte des Enfers, redoutée des cyclistes. L'ambiance y est celle d'un petit col de montagne, l'altitude en moins.

Entre les Enfers et le village des Pommerats : des pâtures et des sapins...

Le plateau, un peu après Saignelégier. Ici, pas de paysages à vous couper le souffle, mais des perspectives paisibles et accueillantes, à l'image des habitants de cette région.
Pas de vent, les éoliennes sont en berne...

Au centre, l'antenne du Chasseral. De l'autre côté, on plonge sur Neuchâtel.

On redescend déjà sur Biaufond depuis le hameau de Cerneux Godat. De l'autre côté, c'est la France.

Biaufond, retour au Doubs.

On se croirait sur un étang...


Remontée vers Fournet-Blancheroche. De l'autre côté c'est... la Suisse.

Avant de rentrer je m'arrête au terrain d'ULM vers Charquemont. Les machines qu'on y voit sont superbes mais... toutes suisses. Et comme je suis jaloux ben, j'les ai pas prises en photos !