Trop rapide l'okapi . J'étais en train de voir la réponse d'Arbracam

.
Lieb , doit y en avoir plusieurs sortes , mais ça semble être ça .
des capitelles pour décharger le raisin .
(3) Ce sont de petites constructions au plan extérieur en forme de "fer à cheval" (c'est-à-dire avec une façade plane et un tour arrondi en demi-cercle ou en demi-ellipse) et au plan intérieur en forme de "trou de serrure" (c'est-à-dire avec un petit vestibule d'entrée débouchant dans une cellule de 1,50 m à 2,00 m de diamètre). Une dalle posée de chant isole le vestibule de la cellule et transforme le fond de celle-ci en une cuve rudimentaire, rendue étanche par un mortier de terre glaise et de chaux grasse qui en tapit le fond et les parois sur 70 cm de haut. L'élévation du vestibule (deux encorbellements opposés), sa hauteur (de 1,80 m à 2,00 m) permettaient à un homme portant une charge de raisins ou d'olives sur l'épaule de la décharger dans la cuve. Le fond de la cuve, légèrement en pente, aboutit à un petit trou, le cuvon de vendange, qui permettait, à l'aide d'un petit récipient, de vider complètement le jus. Au-dessus de la cuve, s'élève une voûte de 2,00 à 3,00 m sous flèche, recélant dans ses parois une ou deux niches, à mi-hauteur. Chaque année, avant la récolte, la cuve était rebadigeonnée. Des exemples se rencontrent dans les enclos de pierre sèche de la garrigue de Nîmes et sur les communes voisines de Marguerittes et Caveirac (cf. Paul Marcelin, Mystérieuses capitelles !
Merci à tous , et si vous en savez plus

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